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Annabel, actuaire en assurance : « Mon métier est avant-gardiste. Je fais parler les chiffres pour appréhender l’avenir ! »
Découvrez son quotidien chez Apicil Transverse, Groupe APICIL, l’un des leaders de la protection sociale et patrimoniale en France.
Connaissez-vous le métier d’actuaire ? Souvent qualifié d’ingénieur de l’assurance, il consiste à analyser, modéliser et anticiper les risques d’une entreprise, afin de garantir sa solidité économique et aider à la prise de décisions.
Dans le secteur de l’assurance, l’actuaire joue un rôle clé : il permet non seulement aux compagnies de rester compétitives en prenant des décisions éclairées, mais poursuit aussi la vocation de protéger les assurés.
C’est cette dimension humaine qui a poussé Annabel Berard, actuaire en risk management, à rejoindre le secteur assurantiel, et plus particulièrement le groupe Apicil. « Je n’avais pas envie de faire de la finance pure. Je voulais un rapport plus humain. Et quand on parle d’assurance, on parle de protection des personnes, d’épargne, de retraite, d’accompagnement sur le long terme. »
Une vocation tardive
Férue de calculs, la jeune femme a débuté ses études par une licence et un master en mathématiques appliquées. Elle s’est ensuite dirigée vers l’actuariat, en intégrant l’Euria, l’une des écoles reconnues par l’institut des actuaires de France, tout en étant en alternance dans une entreprise de conseil.
Loin d’être une vocation au départ, l’actuariat est apparu assez tard dans son projet professionnel : « Au départ, je ne me suis pas dit : j’ai envie d’être actuaire. C’est un métier assez méconnu. J’aimais les mathématiques, j’avais besoin d’un métier avec une forte composante scientifique, je ne me voyais pas rester dans un environnement universitaire. »
Satisfaite de ses missions en alternance, Annabel s’était donc orientée naturellement vers cette voie. « J’ai ensuite été embauchée en CDI dans cette même entreprise de conseil, ce qui m’a permis d’avoir un aperçu des différentes composantes du métier d’actuaire. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que je voulais m’orienter en Risk Management », explique-t-elle. « Cela me permettait de mélanger la technicité du métier d’actuaire avec une application en pilotage et gouvernance d’une compagnie. »
Sa mission principale ? Gérer les risques…
La jeune femme a donc rejoint Apicil en octobre 2024 et se plaît dans son poste. Mais en quoi consiste-t-il concrètement ? « Je participe à des réflexions en gestion des risques afin de garantir que la compagnie reste solvable, qu’elle ait la capacité de satisfaire les engagements de long terme pris vis-à-vis des assurés. »
Pour ce faire, Annabel et l’équipe dont elle fait partie, modélisent différents risques : « Ce peut être aussi bien des risques de marchés, que des risques liés à la protection de personnes en santé et prévoyance, ou encore des risques climatiques. » Elle met en place différents scénarios prospectifs mêlant mathématiques, finance, data et statistiques : « Je fais ce que l’on appelle des stress tests ou des études de sensibilité », explique-t-elle.
… En tenant compte de l’évolution de la réglementation
Dans ses projections, Annabel tient aussi compte de l’évolution de la réglementation : « En ce moment par exemple, nous devons prendre en compte la révision de la directive européenne Solvabilité II. »
Un autre exemple parlant est celui de l’évolution de la réglementation à cause du changement climatique : « On nous demande de mettre en place des plans de transition et de nous accorder à de nouvelles normes de durabilité comme la CSRD. »
Annabel aime le côté réglementaire de son métier. Elle apprécie aussi la dimension « avant-gardiste » de sa profession : « Je fais parler les chiffres pour mieux appréhender le futur. Cette vision à long terme est passionnante », assure-t-elle.
Un métier où rigueur, aisance orale et esprit d’analyse sont de mise
Au-delà du sens qu’elle donne à son travail, Annabel considère en apprendre tous les jours : « Je sors de ma zone de confort, je suis sans cesse challengée. » Elle affectionne aussi la transversalité de son poste : « J’échange avec plusieurs directions différentes, les sujets sont variés. Grâce à ça, je développe en permanence de nouvelles expertises. » Cette dimension transverse l’oblige aussi à vulgariser car elle ne s’adresse pas qu’à des actuaires.
Mis à part la vulgarisation, Annabel estime que son métier requiert un très bon esprit d’analyse, beaucoup de rigueur et une composante scientifique solide. « Il faut être pragmatique, comprendre vite et aider à la prise de décisions », appuie-t-elle.
L’aisance à l’oral et l’agilité relationnelle sont également des prérequis non négligeables : « Eclairer ses idées et adapter son discours à différents publics sont des atouts clés. »
« Chez Apicil, il y a une vraie reconnaissance des qualités de chacun »
Outre les missions qu’elle exerce, son épanouissement professionnel résulte aussi de la bienveillance de son employeur : « Chez Apicil, il y a une véritable reconnaissance des qualités de chacun, une envie de faire progresser les collaborateurs dans une logique de bienveillance et de réussite commune. »
Annabel adhère pleinement aux valeurs d’Apicil et se sent complètement en accord avec la culture d’entreprise du groupe : « Bien que la structure soit grande, l’ambiance y est familiale », assure-t-elle, en citant comme exemple, la facilité d’échange entre les collaborateurs.
Annabel tient aussi à mentionner « la confiance » accordée : « Nous travaillons avec autonomie tout en étant accompagnée selon le besoin. Nous organisons librement notre temps de travail, notamment pour pratiquer une activité physique entre midi et deux - tout en respectant des plages horaires communes. Cette flexibilité est très appréciable », reconnaît-elle.
« L’actuariat n’est pas une finalité »
Avant de conclure, la jeune femme tient aussi à rassurer les jeunes diplômés qui souhaitent se lancer dans un parcours similaire, mais qui hésitent par crainte de se fermer des portes liées à la spécificité du métier : « Devenir actuaire n’est pas une finalité. Lorsque l’on choisit cette voie, on ne s’enferme pas dans un métier. Au contraire, on découvre plein d’autres domaines : la finance, la data, la statistique… »
Elle invite donc les candidats, détenteurs d’un solide bagage scientifique, à se renseigner sur cette profession méconnue : « En plus de la passion du métier, l’actuariat chez Apicil permet d’avoir un bon équilibre entre vie pro et perso et une rémunération très correcte. » Et de conclure : « Si on aime les sciences, et que l’on veut les appliquer en leur donnant du sens et une portée humaine, l’actuariat est un domaine passionnant qui peut permettre d'y parvenir. »
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