« En rejoignant l’usine de Gien, j’ai compris qu’Otis possédait un savoir-faire industriel unique à la hauteur de ses ambitions »
À travers son parcours d’alternant à membre de l’équipe de direction d’Otis en Europe, Edouard Gibout revient sur les opportunités qu’offre Otis et plus particulièrement l’usine de Gien et ses métiers autour de la fabrication.

Leader mondial dans la fabrication d’ascenseurs et d’escaliers mécaniques, Otis transporte 2,4 milliards de passagers chaque jour à travers le monde. En France, la multinationale dispose d’un vaste réseau d’agences et opère majoritairement dans la fabrication d’ascenseurs et d’escalators, leur installation, leur maintenance et leur modernisation.
L’usine de Gien : un site industriel innovant au cœur du Loiret
Bien qu’elle ait un périmètre international, c’est en France, au cœur du Loiret, que l’entreprise Otis a implanté dès 1961 l’une de ses usines de fabrication d’ascenseurs. Ce site industriel est dédié principalement à la fabrication d’appareils, de portes d’ascenseurs et d’équipements de modernisation à destination de la France et de l’export.
Le site de Gien accueille également une partie des équipes du pôle recherche et développement européen (R&D) ce qui lui permet d’être l’un des sites stratégiques européens en matière d’innovation au sein du groupe depuis plusieurs années grâce notamment à son centre dédié : l’European Lead Design Center. Ce dernier est notamment en charge de designer l’ascenseur de demain, mais aussi de travailler sur l’amélioration de nos produits existants afin de mieux répondre aux attentes des clients.

L’alternance, un levier de développement des talents
Le site de Gien emploie aujourd’hui environ 600 personnes. Edouard Gibout, récemment nommé vice-président de la transformation industrielle pour la zone Europe, y a débuté sa carrière, en rejoignant le groupe en alternance en 2014, alors qu’il était en troisième année d’école d’ingénieur.
À l’époque, plusieurs raisons l’avaient motivé à postuler chez Otis : « Après un stage dans la cosmétique, j’ai eu envie de toucher à de l’industrie plus lourde, avec des produits plus diversifiés, plus proches du système que du composant. Otis offrait ça. »

C’est véritablement lors de son entretien avec le directeur des ressources humaines et le directeur industriel du site de Gien, qu’Edouard a compris « qu’Otis possédait un savoir-faire industriel unique à la hauteur de ses ambitions » : « L’entreprise avait un schéma de transformation sur plusieurs années et une vision claire. De plus, je savais qu’on allait me confier un projet transversal et que j’allais apprendre beaucoup de choses en un an ».
Un projet d’apprentissage transversal et formateur
À son arrivée, Edouard a donc pris en charge un projet de réorganisation des flux et du stockage de la matière première au sein du service industrialisation de l’usine. « En arrivant, j’ai passé quelques jours en production. J’ai commencé par cisailler des flancs de tôle », raconte-t-il. L’immersion en production est, pour lui, la meilleure manière de comprendre les problématiques des opérationnels. « C'est le meilleur apprentissage lorsqu’on arrive en usine, à tout niveau. On gagne six mois dans son travail en passant par cette étape », affirme-t-il.
Cela permet également d’assimiler la culture de l’entreprise. « Chez Otis, nous avons trois absolus : la sécurité, la qualité et l’éthique. En passant deux semaines en production, je me suis rendu compte que ces engagements n’étaient pas que des mots sur des posters et qu’ils étaient bien réels. »

« Mon tuteur ne cherchait pas à aller au-devant de mes questions, mais était toujours disponible pour y répondre »
Une fois rentré dans le vif de ses missions, Edouard a très bien été accompagné par son tuteur qui lui laissait beaucoup d’autonomie. « Il ne cherchait pas à aller au-devant de mes questions, mais était toujours disponible pour y répondre dès que j’avais une difficulté », se souvient-il.
Son tuteur lui avait défini des objectifs et des attentes clairs, tout en laissant à Edouard le temps nécessaire pour mener à bien son travail en tant qu’apprenti. « Il n’a pas considéré mon projet d’apprentissage comme annexe, bien au contraire », précise-t-il.
Lorsqu’il a été l’heure pour Edouard de faire le bilan de son alternance, celui-ci s’est avéré très positif : « J’ai eu la chance de travailler sur un projet transversal qui touchait plusieurs chaînes de valeur, ce qui m’a permis non seulement de découvrir de nombreux process mais aussi de me créer un réseau d’interlocuteurs au sein même de l’usine. »
Otis offre des évolutions de carrière verticales ou transversales
Fort de cette première expérience réussie, Edouard a été embauché en 2015 en tant qu’ingénieur industrialisation. En 2017, il a été nommé chef de projet pour l'usine de Gien, puis une année plus tard, il a élargi son périmètre à plusieurs usines européennes en conservant les mêmes fonctions. « En 2020, je suis devenu directeur technique et commercial pour l’unité opérationnelle de Modernisation. En 2022, j’ai pris la direction de l'usine de Gien avant de prendre la vice-présidence de la transformation industrielle européenne, il y a deux mois », énumère-t-il. Son parcours illustre la diversité d’évolutions chez Otis et plus particulièrement sur le site de Gien.
« La particularité d'Otis, c'est que vous avez deux chemins de carrière qui s'offrent à vous », raconte Edouard. Vous avez la possibilité d’évoluer de manière verticale en vous spécialisant dans votre domaine de compétences. Certains de mes anciens collègues sont aujourd’hui reconnus comme experts dans leur métier dans le monde entier. »

L’autre option – celle choisie par Edouard – consiste à expérimenter différents métiers au cours d’une carrière avec des évolutions transversales. « J’ai commencé par de l’ingénierie, puis la gestion de projet, pour ensuite explorer le volet commercial et devenir directeur technique et commercial. Et enfin, j’ai pris des fonctions managériales en tant que directeur d’usine », liste-t-il. Le parcours d’Edouard Gibout n’est pas un cas isolé : « Mon premier manager avait débuté en tant qu’opérateur de production sur une plieuse », insiste-t-il pour illustrer son propos.
Des perspectives encouragées par la formation et la dimension internationale du groupe
Selon Edouard, les perspectives d’évolution sont facilitées par la dimension internationale du groupe et la diversité des métiers que l’entreprise compte : « Les opportunités sont nombreuses et les évolutions internes encouragées. Si vous parlez anglais, les options seront encore plus diverses ».

Pour accompagner ses talents dans leur montée en compétences, l’entreprise leur propose de nombreuses formations sur-mesure : « Nous avons accès à des formations régulières et adaptées à nos besoins nous permettant d’améliorer nos compétences techniques et managériales, mais aussi notre développement personnel », résume Edouard Gibout.
Son témoignage vous a convaincu ? N’hésitez pas à postuler, de nombreuses offres sont à pourvoir sur le site de Gien.


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