Pourquoi choisir l’économie circulaire pour débuter sa carrière ?
Réponse avec Cédric Bouscatel, directeur Investissements et Plan Climat d’ELIS, qui adhère totalement aux valeurs prônées par son entreprise.

La quête de sens dans le travail est une motivation de plus en plus importante chez les jeunes actifs. D’après une enquête Ipsos réalisée en 2024, 64% des jeunes diplômés de 18 à 28 ans déclarent trouver nécessaire que leur entreprise fasse attention à l’impact environnemental de son activité.
À ce titre, la société ELIS, spécialisée dans l’équipement de solutions d’hygiène et la location-entretien de textile professionnel, fait figure d’exemple. En effet, tous ses services sont basés sur le principe d’économie circulaire, dans une logique de préservation des ressources.
Une entreprise pionnière de l’économie circulaire
En rejoignant ELIS en 2002 après ses études d’ingénieurs, Cédric Bouscatel était déjà sensible à ces enjeux écologiques. « Mais il y a 20 ans l’entreprise ne communiquait pas sur le sujet », se souvient-il. À l’époque, elle parlait d’ailleurs davantage d’économie de la fonctionnalité que d’économie circulaire. « Le recyclage de l'eau par exemple est fondamental et évident chez nous, puisqu’on utilise des millions de mètres cubes par an. C’est quelque chose de naturel chez ELIS, mais sur lequel on ne communiquait pas suffisamment il y a 10 ou 15 ans. »
Même chose pour les consommations énergétiques de l’entreprise, « qui sont continuellement réduites et décarbonées » : « Ces actions sont aujourd’hui beaucoup plus visibles grâce aux équipes RSE, mais elles sont inscrites dans la génétique historique du groupe », affirme Cédric.

Cédric n’avait donc pas postulé chez ELIS pour ses valeurs en premier lieu. « Pour être honnête, j’ai candidaté car le groupe était en mesure de m’offrir un poste à responsabilités, chose très rare en sortie d’école. »
Une double casquette : Investissements et Climat
Après avoir intégré l’entreprise en tant que responsable maintenance, le jeune homme a évolué à différents postes. « La mobilité interne, la variété et le renouvellement des missions sont ancrés dans la culture d’entreprise d’ELIS », affirme-t-il.
Cédric est aujourd’hui directeur Investissements et Plan Climat au sein de la direction industrielle d'ELIS. « Concrètement, j’ai deux casquettes. D’un côté, je m’occupe de la gestion des investissements industriels du groupe, qui peuvent être des besoins en matériel, en bâtiments, en véhicules pour notre flotte logistique… En résumé, tout sauf le linge et la partie informatique. » Ce poste requiert une grande polyvalence et une fine connaissance des services du groupe. « Il faut être un peu couteau-suisse », réalise-t-il. Au total, Cédric et son équipe supervisent l’équivalent de 4 000 opérations d’investissements à travers le monde, « qui vont de quelques milliers à plusieurs millions d'euros. »

Sa seconde casquette, plus récente, est associée à la stratégie Climat du groupe. Concrètement, Cédric fait en sorte qu’ELIS tienne ses engagements environnementaux SBTi*, alignés sur l’Accord de Paris sur le Climat. Ses missions ? « Sélectionner, programmer, définir et exécuter les bonnes actions à mettre en place », pour tenir les ambitions que l’entreprise s’est fixée. Pour l’aider, il dispose d’une équipe de collaborateurs spécialisés sur ces questions, « mais elle est totalement en construction, car les problématiques sont nouvelles », explique-t-il.
Si Cédric apprécie la première casquette de son poste pour sa dimension pluridisciplinaire et la richesse des missions, il affectionne beaucoup la deuxième pour des raisons très différentes. « J’aime bien ces sujets sur le climat, car ils me bousculent. On requestionne nos acquis historiques et nos habitudes. Je travaille avec des profils plus jeunes, c’est formateur car ils voient des enjeux et des solutions auxquels je ne pense pas forcément », explique-t-il.
« ELIS est une entreprise d’avenir »
En dehors de ses missions, Cédric se plaît dans l’entreprise. « ELIS est une entreprise d’avenir », affirme-t-il, avant d’argumenter : « En plus de s’inscrire dans une démarche d’économie circulaire, les activités d’ELIS sont considérées comme essentielles, nous faisions partie des industries autorisées pendant le Covid. »
Cela sans compter sur l’ancrage local des infrastructures malgré l’ampleur internationale du groupe, synonyme là encore de durabilité. « À la différence d’autres entreprises, nos sites industriels ne peuvent pas être situés à plus de 100 km de nos clients. On ne peut pas transporter notre produit par avion ou par bateau sur des dizaines de kilomètres », poursuit-t-il.
Cédric adhère profondément aux valeurs prônées par son employeur. Il a le sentiment d’aligner son travail avec ses convictions personnelles. « Je suis sensible à l'empreinte environnementale de mes actions. Et c’est d’autant plus vrai depuis que je suis papa et depuis que j’ai pris la direction du Plan Climat d’ELIS. C’est un sujet qui résonne en moi. »
« Les candidats souhaitent donner du sens à leur travail »
Comme lui, la majorité des ingénieurs qui rejoignent ELIS sont motivés par la circularité des services, reflet de l’engagement environnemental d’ELIS. « C’est un sujet d’échange avec les candidats en entretien, car ils souhaitent donner du sens à leur travail. On peut parfois passer un tiers de l’échange autour de ces questions. Et c’est important de le faire, car si la personne n’y est pas attachée, ça risque de fonctionner difficilement pour la suite », avoue Cédric. Le directeur remarque d’ailleurs que ses nouvelles recrues savent parfaitement ce qu’elles veulent et ce qu’elles ne veulent pas.
L’économie circulaire : un secteur rassurant et prometteur
D'après Cédric Bouscatel, face au changement climatique et à la dégradation des ressources, le secteur de l’économie circulaire tient aussi quelque chose de rassurant : « Intégrer une entreprise qui, par nature, s’inscrit dans une démarche de préservation des ressources, c’est une façon de contribuer à faire quelque chose de bien » pour la planète par son travail, « même si on ne changera pas le monde », concède-t-il.
* SBTi : La Science-based Target Initiative (SBTi) est un projet destiné à contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique via l’engagement des entreprises.


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