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Maud, responsable d’agence Azaé : « Le handicap ne freine jamais nos recrutements. Chacun mérite sa chance ! »
Illustration de l’engagement du groupe A2micile en faveur de l’inclusion, à travers les témoignages de Morgane, reconnue RQTH, et de Maud, sa responsable.
 
        Acteur majeur des services à la personne, le groupe A2micile place l’humain au cœur de l’engagement de ses deux marques, Azaé et Domaliance. Parmi ses priorités : favoriser l’intégration professionnelle des personnes en situation de handicap. Un engagement fort, qui se concrétise chaque jour dans les agences du réseau, à travers des actions concrètes, des recrutements inclusifs et des aménagements de poste adaptés.
La preuve sur le terrain avec le témoignage croisé de Maud Valtain, responsable des agences Azaé de Troyes et de Bar-sur-Aube, et Morgane Serveaux, responsable de secteur reconnue RQTH*.
Le déclic du diagnostic
Morgane rejoint l’entreprise en 2022, en tant qu’assistante d’agence. Au bout d’un an, elle passe responsable de secteur sur le pôle maintien à domicile. « Concrètement, mon rôle consiste à rencontrer les bénéficiaires pour leur présenter le fonctionnement de l’agence et des prestations, leur faire signer les contrats, et les accompagner dans leurs démarches d’aides financières, si besoin. Je gère également les plannings des aides à domicile et le suivi des réclamations. »
La jeune femme apprécie la polyvalence de son métier et le contact avec les bénéficiaires. Ce contact aurait pourtant pu se perdre à petit feu si son handicap n’avait pas été reconnu comme tel. En effet, à son arrivée, la jeune femme souffrait déjà de maux de dos, mais au fil des mois les douleurs se sont accentuées et le diagnostic a fini par tomber : hernie discale. « J’avais du mal à rester longtemps assise, donc je faisais beaucoup de télétravail, explique-t-elle.
Morgane exerçant un poste administratif, « le télétravail n’était pas spécialement contraignant au départ », concède Maud, « mais ses douleurs étaient telles qu’elle ne pouvait plus prendre de rendez-vous avec les bénéficiaires, car elle devait se préserver. » Cette situation n’était donc pas viable, « il fallait trouver une solution ! », reconnaît sa responsable.
Sur les conseils de son médecin traitant, Morgane a donc commencé les démarches pour bénéficier de la reconnaissance de travailleur handicapé (RQTH), qu’elle a finalement obtenue en 2024. « Au début, j’ai un peu hésité, car le terme peut faire peur. J’en ai parlé à Maud, qui m’a immédiatement rassurée », explique-t-elle.
Des équipements ergonomiques et un poste de travail adapté
Outre le fait de caractériser le handicap, la RQTH permet surtout à l’employeur d’aménager un poste de travail adapté. C’est ce qui s’est passé pour Morgane. « Aujourd’hui, j’ai un fauteuil adapté, un bureau qui se relève (elle peut travailler autant debout qu’assise), un support de documents pour éviter que mon buste ne pivote trop, ainsi qu’un repose-pied et un meilleur éclairage. »
Ces équipements ne sont pas un remède miracle – l’hernie est toujours là - mais ils permettent tout de même d’apaiser ses douleurs, afin qu’elle accomplisse son travail en toute sécurité. « Ça me soulage au quotidien, en complément de mes soins médicaux », assure-t-elle.
 
        Pour sa responsable, les retombées de cet aménagement de poste sont plus que positives : « Morgane a pu reprendre ses missions pleinement, et surtout revoir les clients. Elle fait son travail à 100%, tandis qu’avant elle ne pouvait aller qu’à 70% de ses capacités. »
De son côté, Morgane s’est sentie « à l’aise, écoutée et accompagnée » par Maud dans cette démarche de reconnaissance RQTH, malgré les délais d’obtention.
Une vigilance accrue chez les intervenant(e)s
Si Morgane a profité d’une adaptation matérielle de son poste de travail, les dix intervenantes en situation de handicap (auxiliaires de vie et aide-ménagères) que compte l’agence de Troyes, bénéficient davantage d’aménagement de planning.
« On réduit surtout les horaires, la charge de travail et le contenu des missions des intervenantes », explique Maud, avant d’illustrer son propos : « Par exemple, Lysiane, une de nos auxiliaires de vie qui souffre d’un problème d’épaule, ne fait pas de ménage et ne travaille que 4 heures par jour le matin, ce qui lui laisse la possibilité d’aller chez le kinésithérapeute l’après-midi. »
…dont le corps est « l’outil de travail ! »
La responsable d’agence voit néanmoins une grande différence entre le profil de Morgane, qui occupe un poste administratif, et les auxiliaires de vie « dont le corps est le principal outil de travail ». C’est pourquoi elle redouble de vigilance concernant ces profils : « En cas de RQTH déclarée, il faut que tout soit cadré par la médecine du travail, pour protéger les salariés d’une part, mais aussi pour éviter que le handicap ne finisse par causer une inaptitude professionnelle. » Pour cela, elle est accompagnée par des acteurs spécialisés sur ces questions, comme Cap Emploi et l’Agefiph.
« Il ne faut pas que le handicap soit un sujet tabou »
Quel que soit le poste, la responsable d’agence assure que le handicap n’est pas un frein à l’embauche : « On ne se restreint pas dans les recrutements à cause d’un handicap : tout le monde a le droit à sa chance. Le handicap ne détermine ni l’identité, ni les compétences d’une personne ».
Elle insiste cependant sur la nécessité d’une bonne communication dès le départ : « Il faut parler ouvertement de son handicap, ne pas en faire un sujet tabou et exprimer ses besoins ».
Le fait d’exprimer clairement ses besoins est d’autant plus important, que chaque pathologie est différente : « On ne va pas gérer de la même manière un handicap mental ou physique », fait remarquer Maud, avant de poursuivre : « Pour protéger au mieux le salarié concerné, nous avons d’abord besoin de comprendre les conséquences de son handicap », justifie-t-elle.
Morgane recommande elle aussi « de ne pas hésiter à en parler » : « On passe beaucoup de temps au travail, alors autant s’y sentir bien », conclut-elle.
* RQTH : Reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé
 
     
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