« J’ai amélioré mon niveau de vie et mon enthousiasme à me lever chaque matin » : de la médiation sociale au commerce, Robin a franchi le pas
Il vous explique pourquoi il a choisi Berner pour sa reconversion !

Robin l’annonce d’emblée : son parcours pro est plutôt atypique. « Après un bac pro en menuiserie, j’ai enchaîné sur un BTS dans la même filière. Mon frère est malheureusement tombé malade à cette période, ce qui m’a fait décrocher un temps des études. Quand je m’y suis remis, j’avais pris trop de retard dans les enseignements. »
Robin bifurque alors vers un tout autre domaine : le sport. Son diplôme en poche, il rejoint le milieu associatif et travaille pour différentes municipalités en tant que médiateur social et animateur jeunesse.
Le bouche-à-oreille comme porte d’entrée chez Berner
Il s’épanouit dans ces fonctions quelques années mais un événement vient tout bouleverser. « La mairie qui m’employait à l’époque m’a dit que j’allais devoir arrêter la médiation pour des raisons budgétaires. Comme je ne voulais pas me consacrer uniquement à l’animation périscolaire, j’ai commencé à chercher un autre emploi. » Sur les recommandations de son entourage, il décide de s’orienter vers le commerce. « Des proches qui travaillaient chez Berner m’ont dit : « Fonce, ici tu seras bien accompagné ». »
Le jeune homme suit leur conseil et est rapidement rappelé par Julia, recruteuse chez Berner. Le courant passe et il décroche un entretien avec Armèle, sa future manager… le lendemain de la finale de la Coupe du monde de football 2018 (remportée par l’équipe de France). « La nuit a été courte mais j’étais à l’heure et en forme au rendez-vous, sourit Robin. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre mais je suis venu l’esprit ouvert. Je me suis dit que si le poste était pour moi, ça se ferait naturellement. Et que je n’avais rien à perdre ! »
« On a senti que Robin n’était pas là par hasard »
Armèle le reçoit en compagnie de son supérieur, le futur N+2 du commercial. « C’est une pression supplémentaire pour le candidat mais Robin ne s’est pas laissé démonter. Il nous a confié avoir fait la fête la veille, mais qu’il était là et déterminé à décrocher le poste. J’ai trouvé qu’il ne manquait pas d’aplomb ! »
Il faut dire qu’elle partait déjà d’un a priori positif : « Julia effectue une première sélection des candidats avant de les convier à un entretien. Elle nous demande en amont les informations relatives aux profils recherchés, donc je savais que Robin était susceptible de coller à nos attentes. Personnellement, j’aime bien les personnes qui viennent du social. Même si c’est quitte ou double : soit ça ne marche pas du tout, soit ça cartonne tout de suite. Il faut que le candidat arrive à prendre le recul nécessaire pour adapter son discours. »
Une faculté que Robin a pu valoriser lors de l’échange : « Malgré ma jeunesse, mon parcours pro était déjà riche quand j’ai postulé. J’ai mis en avant ma capacité à m’adapter à tous types de situations et de personnalités. J’ai surtout voulu montrer ma motivation à devenir commercial. »
Son discours a visiblement fait mouche auprès de ses interlocuteurs : « On a senti qu’il n’était pas là par hasard, qu’il y avait une vraie réflexion derrière son projet de reconversion, affirme Armèle. On peut tout apprendre aux nouvelles recrues, mais pas leur transmettre l’envie de réussir. Qu’on ait 25 ou 45 ans, l’important est de venir avec un projet élaboré et d’être motivé. »
Un parcours d’intégration « rassurant »
Ses premiers pas chez Berner se sont fait en douceur. « On n’est pas tout de suite lâché sur le terrain. L’entreprise nous forme jusqu’à ce qu’on soit apte à se débrouiller seul. C’est rassurant, quand, comme moi, on n’a pas de diplôme commercial et aucune expérience dans le secteur ! »
Robin a commencé par une semaine de formation théorique au siège pour « mieux connaître l’entreprise et son fonctionnement ». « On aborde aussi un peu les produits, mais sans trop entrer dans le détail dans un premier temps. Comme tous les nouveaux, je pensais qu’il fallait les connaître par cœur et être super calé en technique. Alors que non, pas du tout. Les clients ont juste besoin qu’on soit capable de trouver les solutions à leurs questions en interne. »
Le vrai défi n’est pas là, selon lui. « Le métier de commercial itinérant est très différent de celui d’animateur jeunesse, où j’étais toujours très entouré. Chez Berner on travaille en autonomie sur le terrain, on décide nous-mêmes de nos horaires de travail, en s’adaptant à notre clientèle. Je me demandais si j’allais réussir à m’autodiscipliner et à rester motivé jour après jour. » Ces questions ont continué à le tarauder les premiers mois… Jusqu’à ce qu’il se rende à l’évidence : « En réalité je n’ai jamais eu de mal à me lever tôt ! »
S’adapter aux talents de chacun
Le tout est d’acquérir les bons réflexes dès le début. « J’ai commencé par tourner sur mon secteur avec Armèle pour apprendre à créer mes plans de tournée. Elle m’a aussi entraîné sur les points que je maîtrisais moins. Cet accompagnement de proximité m’a mis dans les meilleures conditions pour la suite. »
La manager adapte son accompagnement en fonction « des talents de chacun ». « Il y a une semaine de mise en place qui permet de cerner les attentes et les besoins du collaborateur. » Ainsi que ses points forts : « Robin a tout de suite été très organisé, une qualité essentielle dans notre métier. Il a juste eu besoin d’un coup de pouce au démarrage ! »
Un lien étroit les unit toujours, sept ans plus tard : « Nous tournons sur le terrain ensemble une fois par mois et échangeons au téléphone tous les jours. Je suis toujours disponible en cas de besoin ! » assure Armèle.
Un parcours qui « remet tout le monde à sa place »
Quand on lui demande de tirer un bilan de sa reconversion, Robin s’illumine. « Je suis fier et heureux d’avoir franchi ce cap. J’ai amélioré mon niveau de vie et mon enthousiasme à me lever chaque matin », assure-t-il.
Celle qui l’a pris sous son aile toutes ces années partage la même fierté. « Son parcours est aussi une belle leçon d’humilité. Robin est issu d’un monde totalement différent et pourtant il a eu une très belle montée en compétences chez nous. Ça remet tout le monde à sa place ! »
Outre son rôle de commercial, Robin a en effet endossé de nouvelles casquettes avec le temps. « Il est formateur terrain, ambassadeur e-commerce auprès de l’équipe et on aimerait d’orienter vers la mission manager junior », explique Armèle.
Ce programme interne vise à accompagner progressivement des profils prometteurs vers des fonctions managériales. « Pendant un à deux ans, le commercial suit des formations en management, en parallèle de son travail. Petit à petit, il prend la main auprès de ses collègues en les suivant à la manière d’un manager, sous ma supervision. » Jusqu’à le devenir pleinement dès qu’un poste se libère !


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