« Ferrero est reconnu pour ses marques iconiques, mais aussi pour la qualité de sa force de vente ! »

Kinder, Nutella, Raffaello, Tic Tac, Duplo… Cet aperçu des marques Ferrero vous met l’eau à la bouche ? C’est peut-être le signe qu’il est temps d’allier travail et plaisir… d’autant que l’entreprise mérite le détour, d’après Sandra, cheffe de secteur et Myriam, promotrice des ventes dans la région de Marseille.

« C’est un grand groupe qui a su évoluer avec son temps. J’ai travaillé pour d’autres acteurs de la grande distribution et on m’a chaudement recommandé Ferrero, relève la cheffe de secteur. L’entreprise est connue pour ses marques iconiques mais aussi pour la qualité de sa force de vente. » Une force de vente particulièrement choyée, d’après elle : « Ferrero propose une bonne rémunération, des avantages intéressants (participation, avantages CSE, primes…) et des perspectives d’évolution variées. » Autant de raisons de se pencher de plus près sur son quotidien et celui de sa collègue Myriam !

Faire rayonner les marques du groupe en supermarché

Si Sandra a intégré le groupe grâce au bouche-à-oreille, Myriam y est entrée « en faisant les saisons ». Recrutée en renfort sur les périodes de Noël et Pâques comme promotrice des ventes, elle s’est vite prise au jeu. « Le job m’a plu. Quand un poste en CDI s’est libéré, j’ai saisi l’opportunité. » Ses compétences et son amour des produits Kinder ont fait le reste !

Au quotidien, Myriam fait rayonner les marques du groupe dans les hypermarchés et supermarchés de son secteur. « Je visite une dizaine de magasins chaque semaine. Une fois sur place, je m’occupe de la mise en avant des produits dans les rayons et en caisses. J’installe aussi les têtes de gondoles et îlots en allée centrale. » Myriam doit vérifier que toutes les références prévues sont bien présentes en magasin. « S’il y a une rupture de stocks, je m’assure qu’un réassort est bien commandé. » Elle met aussi en place les promotions et les opérations pirates (des promos « bonus » destinées à dynamiser les ventes).

Un travail d’équipe avec les chefs de secteurs

Myriam travaille main dans la main avec ses deux chefs de secteurs. « On s’appelle tous les jours, confirme Sandra. Si elle a des difficultés sur une opé pirate, je lui donne un coup de main. Et si, à l’inverse, j’ai du mal à référencer un produit, je m’appuie sur Myriam pour la négociation. C’est vraiment un travail d’équipe ! » Bien que présentes l’une comme l’autre « toutes les semaines » chez leurs clients, les deux femmes interagissent avec des interlocuteurs différents au quotidien. Sandra s’adresse principalement aux décisionnaires (directeurs ou chefs de rayons), alors que Myriam est davantage en contact avec les équipes de terrain. « Le relationnel n’est pas le même ! »

Le binôme se retrouve autour d’un café une fois par semaine pour un point de pilotage plus global. « Myriam me liste ses besoins sur les semaines à venir. Elle peut par exemple avoir besoin de merchandisers en renfort pour le montage de certaines opés. »

« On a un rapport privilégié avec nos clients »

Outre ce rôle d’encadrement, Sandra s’attache à développer le chiffre d’affaires d’un secteur « composé d’une vingtaine de magasins ». » Elle dispose de deux leviers d’actions : « Les opérations promotionnelles nationales qu’on reçoit chaque semaine et la saisie d’opportunités, c’est-à-dire les opérations pirates évoquées par Myriam. »

La cheffe de secteur a également un rôle de conseil auprès de ses clients. « Je les aide à optimiser les installations pour les opérations spéciales, par exemple. » Sandra doit par ailleurs les convaincre de référencer des marques « moins connues que Kinder ou Ferrero, telles que Fulfil ou Eat Natural. On peut jouer aussi sur l’implantation et la visibilité des produits pour accroître ses ventes. L’idéal est de placer les produits au niveau des yeux et des mains. Je cherche aussi à agrandir la part de linéaire, c’est-à-dire le nombre de références visibles dans le rayon. » 

Ce qui leur plaît le plus dans leurs métiers respectifs ? « La relation client ! Les journées sont différentes à chaque fois, avec beaucoup de challenges au quotidien, affirme Myriam. On organise des dégustations, la distribution de goodies par des animateurs… J’aime beaucoup installer des animations de ce type. » Sandra apprécie tout autant le contact client : « Nous leur rendons visite chaque semaine donc on a vraiment un rapport privilégié avec eux. »

Un accompagnement vers des évolutions de carrière

Quid des perspectives d’évolution ? « On est toutes deux devenues tutrices en début d’année », annonce Myriam. Sandra est par ailleurs « rapidement » passée du statut junior à senior dans son poste. La conséquence de ce changement d’échelon ? « Un secteur plus important et une augmentation de salaire ! » La cheffe de secteur n’a pas encore planifié la prochaine étape. « J’ai pu découvrir les métiers du siège l’an dernier via le programme « Your future » de Ferrero. Il permet d’avoir une vision plus globale des opportunités en interne. Je ne me ferme aucune porte pour la suite ! »

Myriam envisage pour sa part de briguer, à terme, un poste de cheffe de secteur. « J’en ai parlé à notre chef de région lors de l’entretien annuel. On est en train de préparer le terrain pour que cette évolution soit possible. Il y a un certain nombre de formations à valider. Mon manager me pousse aussi à m’intéresser aux missions et aux outils utilisés par les chefs de secteurs. Il veut que je sois sûre que le métier me convienne ! »

Car si leurs postes ont des points communs, leur quotidien diffère tout de même sur de nombreux aspects. Tout comme leurs horaires : « En général, je commence à 5h pour finir vers 14h ou 15h, avec une pause déjeuner au milieu », détaille Myriam. Alors que Sandra travaille sur des horaires classiques de bureau, « de 7h30-8h à 17h ».

« Il n’y a pas de rapport de force avec la hiérarchie »

Malgré l’envergure mondiale du groupe, Myriam pointe l’ambiance « familiale » qui règne en interne. « Tout le monde se tutoie chez Ferrero. Si vous venez de l’extérieur, vous ne saurez pas qui est le chef ! » assure Myriam. « Il n’y a pas de rapport de force avec la hiérarchie, les échanges sont toujours bienveillants », appuie sa collègue.

Autre atout de taille : « La qualité de la formation prodiguée par l’académie des ventes du groupe. On se sent tout de suite accompagné, personne n’est lâché dans la nature à son arrivée ! C’est important quand on travaille en autonomie sur son secteur, sans bureau fixe », souligne Sandra. Reste qu’elle ne se sent jamais seule sur le terrain : « On a une réunion physique une fois par mois avec l’équipe et des points réguliers sur Teams. C’est toujours un plaisir de se retrouver tous ensemble, chef de région, chefs de secteur et promoteurs des ventes ! »