Kelly, conseillère clientèle chez Kinougarde : « J’ai la sensation d’être utile dans mon métier »

Acteur majeur des services à domicile, le groupe Epiktet détient plusieurs sociétés, dont Kinougarde, un service de garde d’enfants à domicile et Complétude, un organisme de soutien scolaire spécialisé dans les cours particuliers à domicile. Pour accompagner sa croissance, l’entreprise recrute de nombreux conseillers clientèle, notamment à Angers où soixante postes sont à pourvoir.

« Ce poste m’a permis d’avoir un pied dans le commerce, sans travailler les week-ends »

Ce poste s’adresse aussi bien à des profils débutants que confirmés : « Si vous avez le goût du challenge et que vous appréciez la relation client et l’esprit d’équipe, il peut vous correspondre », annonce Kelly Galy, conseillère commerciale chez Kinougarde.

La jeune femme est bien placée pour en parler, puisqu’elle exerce ce métier depuis sept ans. « Après avoir obtenu mon BTS NRC, j’ai travaillé deux ans en restauration rapide. Puis j’ai eu envie de changement, et j’ai postulé chez Kinougarde », raconte-t-elle. À l’époque, Kelly souhaitait retrouver des fonctions commerciales, en lien avec ses études. « J’étais contente de pouvoir allier ces missions avec le secteur de la petite enfance, que je connais très bien car ma maman était assistante maternelle. »

Elle voulait également profiter d’un meilleur équilibre vie pro vie perso, ce qu’elle a trouvé chez Kinougarde : « Ce poste m’a permis d’avoir un pied dans le commerce, sans travailler les week-ends, ce qui est assez rare et appréciable. Après l’arrivée de mes enfants, j’ai pu passer de 40h, à 37h30, puis à 35 h. Peu d’entreprises proposent à leurs salariés de moduler leur temps de travail comme Kinougarde le fait ! »

Un poste hybride entre la relation client et le domaine commercial

Depuis, les années ont passé et Kelly se plaît toujours autant dans son poste. Ses missions au quotidien sont variées puisqu’elle s’adresse à deux types d’interlocuteurs : « Je conseille les clients - qui sont des familles - sur le service que l’on propose, j’essaye de trouver une solution adaptée à leur rythme de vie et au bien-être des enfants, puis j’assure le suivi de la garde. En parallèle, j’accompagne les intervenantes – qui sont des nounous ou baby sitters – en leur trouvant des missions compatibles avec leur emploi du temps et le secteur géographique qu’elles ont défini au préalable », détaille-t-elle.

Des objectifs atteignables avec des primes à la clé

Dans sa journée, la priorité est toujours donnée aux appels entrants, qui peuvent venir soit des intervenantes, soit des parents. « En parallèle, je dois passer des appels pour atteindre mes objectifs », informe Kelly. La conseillère clientèle peut aussi bien appeler des nouveaux clients à la suite d’un lead reçu, que passer des appels de fidélisation en contactant les familles pour voir si elles renouvellent le contrat l’année suivante. « Je peux également téléphoner à une nounou pour le suivi de ses gardes, et en profiter pour lui en proposer de nouvelles », explique-t-elle.

In fine, chaque action validée (fidélisation, nouvelles affectations de gardes…) est primée. « Les objectifs, qui diffèrent en fonction de la période de l’année, nous motivent à nous dépasser », assure Kelly. Pour autant, la jeune femme estime que les objectifs sont largement tenables et qu’il n’y a pas de conséquence si, lors des journées de rush, elle ne parvient pas à atteindre son quota d’appels.

Dans son travail, Kelly n’a pas à effectuer de prospection. En revanche, elle peut recevoir des appels de nouveaux clients, ou de nounous qui souhaitent postuler : « Je demande si la personne détient une première expérience dans le secteur de la petite enfance, puis je regarde si ses disponibilités sont compatibles avec des gardes, sachant que les besoins les plus importants concernent les sorties d’école, de crèche et les mercredis. » Kelly observe ensuite comment la personne se présente, et si elle détecte du potentiel, elle organise un rendez-vous avec un chargé de recrutement en agence.

« On peut prendre le temps d’échanger avec la personne au bout du fil sans être pressé »

Ce que Kelly aime le plus dans son poste ? « La diversité des missions, et la relation client », répond-elle sans hésiter. D’après elle, les échanges avec les clients sont d’autant plus « agréables », que « les appels ne sont pas timés » : « On peut prendre le temps d’échanger avec la personne au bout du fil sans être pressé. »

Au-delà des missions en elles-mêmes, Kelly trouve un véritable sens à son métier : « J’ai la sensation d’être utile ». Et ce, à la fois pour les familles, car il n’est pas aisé aujourd’hui de trouver un mode de garde, mais aussi pour les nounous. « Il n’y a rien de plus gratifiant que d’accompagner une jeune nounou, dont c’est le premier job, dans les démarches administratives », affirme-t-elle.

Kinougarde vs Complétude : un métier similaire sur des services différents

Si cela fait sept ans que Kelly travaille chez Kinougarde, elle a aussi eu l’occasion d’effectuer deux mois à Complétude, une autre société du groupe, qui met en relation des professeurs avec des élèves pour des cours particuliers. « C’est le même métier : je devais attribuer des missions aux professeurs, comme je le fais avec les nounous », explique-t-elle.

La seule différence ? « Dans les cours particuliers, il y a des notions de niveaux scolaires, ce qui n’est pas le cas dans la garde d’enfants », précise Kelly. « C’est pour ça que je me sens plus à l’aise chez Kinougarde. »

Epiktet favorise l’équilibre vie pro perso et encourage la mobilité interne

La proximité d’activité des différentes sociétés du groupe (Kinougarde, Complétude et Amelis depuis peu spécialisé dans l’aide à domicile) permet aux collaborateurs d’Epiktet d’évoluer au sein du groupe.

C’est d’ailleurs l’un des éléments que Kelly tient à souligner lorsqu’on lui demande quelles sont les raisons de rejoindre l’entreprise : « À titre personnel, j’ai eu l’occasion de découvrir un nouveau service avec Complétude, mais toutes les portes sont ouvertes. J’ai une collègue qui était conseillère commerciale et qui est passée graphiste, car elle avait effectué des études dans ce domaine », illustre-t-elle.

Les soft skills sont importantes, « le reste, on vous l’apprend »

Cet exemple démontre également le fait que l’entreprise accorde une grande importance aux soft skills dans ses recrutements. « On peut être issu d’un secteur différent et avoir une place chez Kinougarde. C’est surtout la motivation, l’état d’esprit, la positivité qui font la différence » promet Kelly.

« Le reste, on vous l’enseigne », renchérit-elle. En effet, en arrivant, les nouveaux conseillers reçoivent une formation sur-mesure, sur le plateau d’Angers, pour apprendre leur nouveau métier. « Au début, on nous enseigne un seul périmètre, celui des clients ou des intervenants. » Pour les clients, par exemple, le nouvel arrivant suit deux semaines de formation théorique, espacées par une semaine de mise en pratique sur le plateau. En plus de cette formation réservée aux nouvelles recrues, les conseillers peuvent monter en compétences tout au long de l’année, grâce à des formations plus ciblées. « Dernièrement, j’ai suivi une session sur la fidélisation », indique Kelly.

C’est aussi grâce à la solidarité collective que chaque conseiller se perfectionne : « L’ambiance est très bienveillante sur le plateau, on s’entraide tous ensemble », avoue Kelly, en invitant tous les candidats conquis par son témoignage à postuler à leur tour !