Son alternance chez Berner ? « Tant sur la posture professionnelle, que sur le gain d'expérience, c'est le mode d’apprentissage idéal ! »
Mylène, ancienne apprentie, recrutée récemment par l’entreprise, revient sur ses trois ans d’alternance auprès du spécialiste de l’outillage à l’attention des professionnels.

On dit souvent que l’alternance est gage de professionnalisation, mais certains parcours se démarquent par leur réussite. Celui de Mylène Gallou Filoche est l’un d’eux. La jeune femme a rejoint Berner en tant que commerciale itinérante dans le cadre de sa troisième année de Bachelor commerce et marketing, avant de poursuivre son apprentissage en master. Après ses trois ans d’alternance, elle a été embauchée par le groupe en octobre 2024. Témoignage.

Une évolution des missions
En arrivant chez Berner, la jeune femme a d’abord fait ses armes avec la prospection, pour se familiariser à la pratique commerciale. « Je n’avais pas de secteur clairement défini, j’aidais mes collègues sur les leurs ». Au bout de six mois, son tuteur lui a proposé de reprendre un secteur pour continuer son apprentissage. « À ce moment-là, mes missions ont un peu évolué ». Mylène a conservé le volet conquête de nouveaux clients, mais en y ajoutant la fidélisation et le suivi de portefeuille. Elle s’adressait (et s’adresse aujourd’hui encore) à la division construction et plus particulièrement aux professionnels du bois. À savoir « les menuisiers, charpentiers, agenceurs, ébénistes, mais aussi des collectivités territoriales pour les structures de loisirs notamment. »
Son rôle consistait principalement à les démarcher, puis une fois les contrats signés, à fidéliser ses clients en leur vendant des produits complémentaires. « Avec les clients récurrents, je gérais aussi leur suivi, par exemple des éventuels SAV. Des missions diverses qui ont enrichi mon année d'alternance », reconnaît-elle.
« Aucune journée ne se ressemble »
C’est d’ailleurs cette polyvalence que Mylène apprécie particulièrement dans son métier de commerciale. « Aucune journée ne se ressemble. Elles sont rythmées, il faut pouvoir jongler entre l'administratif et les demandes des clients, en sachant que les clients sont différents par leur taille et leurs activités respectives. C’est cette variété qui me plaît », concède-t-elle. L’étudiante affectionne aussi l’autonomie et la liberté que son poste implique.
En tant qu’alternante, Mylène n’était pas objectivée sur ses ventes. « J’ai quand même demandé à mon tuteur de me fixer un objectif pour suivre mon activité », rapporte-t-elle. Ces derniers étaient purement informatifs, mais « ils me permettaient de quantifier mes performances. »
Une initiation au management
Forte de cette première année réussie, Mylène a souhaité poursuivre son apprentissage chez Berner, dans le cadre de son master : un programme Grandes écoles avec option commerce et management. Son tuteur lui a alors suggéré d’adapter ses missions à cette formation, en ajoutant un aspect managérial. Pendant cette période, Mylène n’effectuait plus de vente directe, mais supervisait le travail de ses collègues, en leur apportant une aide ponctuelle ou régulière « dans la gestion des grands comptes, du développement du e-commerce et d’autres tâches variées ».
« J’ai été très bien accompagnée par les RH avec lesquelles j’avais des points trimestriels, mais aussi par mes tuteurs qui étaient aussi mes managers. Nous avions des points réguliers, quasi-quotidiens. Dès que j’avais une question, il y avait toujours quelqu’un de disponible à qui je pouvais me référer, c’était confortable », admet-elle. C’est comme ça que Mylène est montée en compétences, naturellement à mesure que les missions évoluaient.
Une embauche à la clef
Puis, à la moitié de sa première année de master, Mylène s’est vu être rattachée à un nouveau secteur. « Je l’ai développé pendant tout le reste de mon alternance, en effectuant en parallèle d’autres missions complémentaires managériales comme l’animation de la plateforme de vente », résume-t-elle. Le but ? Lui apprendre les ficelles du management pour qu’elle intègre, à la suite de son alternance, le cursus de management junior de Berner France.
C’est exactement ce qui s’est passé : « J’ai été embauchée en octobre 2024 et je suis actuellement ce parcours de management junior », dévoile-t-elle fièrement. L’objectif de ce parcours ? Former les futurs managers. Sa durée diffère d’un profil à l’autre, ce sera dix-huit mois pour Mylène. Pendant ce temps, elle bénéficiera de formations au management dispensées par le groupe. « Je manage déjà un collaborateur, mais cela peut aller jusqu’à trois durant ce parcours », explique-t-elle.
Développer sa résilience, affiner son discours commercial
Aujourd’hui, Mylène estime que grâce à l’alternance, elle a pu développer de nombreuses compétences. À commencer par la « pugnacité » : « Au début, c’était assez compliqué, car je me prenais des portes, j’allais à la rencontre de personnes très sollicitées qui n’avaient pas forcément la disponibilité de me recevoir », se souvient-elle. À force de pratiquer le terrain, Mylène a développé sa résilience et affiné son discours commercial.
Son alternance lui a aussi enseigné la rigueur : « Si l’on n’est pas rigoureux, on ne peut pas réussir dans ce métier. » Mylène a gagné en patience et en adaptabilité, des aptitudes plus que nécessaires dans sa profession : « Il faut parfois passer dix fois chez un client avant de signer une commande ». L’étudiante a aussi appris à maîtriser sa posture professionnelle, comme tous les alternants peu importe leur poste.
Les bénéfices de l’alternance
Son expérience est telle que Mylène assume « être une fervente défenseuse de l’alternance ». D’après elle, ce mode d’apprentissage présente de nombreux avantages : « Pour commencer, on peut mettre en pratique la théorie que l’on voit en cours, dans nos missions en entreprise. »
Elle estime aussi que l’insertion sur le marché du travail est bien plus aisée après un passage par la case alternance : « Elle nous permet de monter en compétences de manière plus concrète et sur un CV, c’est bien plus valorisable », soutient-elle. Autre argument non négligeable, selon elle : celui du salaire et du financement de la formation par l’entreprise. Cela sans compter sur l’employabilité des alternants, Mylène peut en témoigner ! En résumé, « tant sur la posture professionnelle que l’on adopte au fil des années que sur le gain d'expérience, pour moi, l'alternance c'est vraiment l’idéal », constate Mylène.
Cette dernière tient aussi à rassurer les futurs alternants qui auraient peur de ne pas être à la hauteur ! « Il faut se faire confiance », conseille-t-elle. « On m’a toujours dit : Si tu te lèves le matin, ça marchera ! Et c’est vrai, car on sème des graines et on récolte forcément le fruit de notre travail à un moment ». Pour elle, l’alternance chez Berner s’est soldée par une embauche, et si vous étiez le prochain ?


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