Ingénieurs : devenez un expert trading énergie chez UEM

Fondée en 1901 à Metz, UEM emploie plus de 750 personnes et fournit plus de 160 000 clients en électricité, gaz et chauffage urbain. Depuis sa création, l’entreprise a su se diversifier et s’imposer sur son marché par le biais de plusieurs filiales :

• énergem, spécialisée dans la commercialisation d’énergies (électricité et gaz) sur l’ensemble du territoire français
• réséda, gestionnaire des réseaux de distribution d’électricité sur Metz et ses environs
• énergreen production, en charge du développement des EnR (énergies renouvelables)
• efluid, chargée du développement et de la commercialisation du progiciel de gestion du même nom

« Nous avons actuellement besoin de renfort au sein de nos deux divisions trading » annonce Camille Bonvier, responsable de l’une d’elles. « Ces besoins sont liés à la fois à la crise de l’énergie et au développement d’une nouvelle activité en interne. »

• Ingénieur Data Analyst H/F

  Metz - 57

  CDI

  43 000 - 50 000 € / an

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  il y a 3 heures
• Ingénieur Cybersécurité H/F

  Metz - 57

  CDI

  43 000 - 50 000 € / an

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  il y a 2 jours
• Cadre Chargé d'Etudes Informatiques H/F

  Metz - 57

  CDI

  43 000 - 50 000 € / an

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  il y a 4 jours
• Alternance - Data Analyst Financier H/F

  Metz - 57

  Alternance

  486,49 - 1 801,80 € / mois

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  il y a 12 jours
• Technicien d'Exploitation H/F

  Metz - 57

  CDI

  31 000 - 34 000 € / an

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  il y a 13 jours

Entre 40 et 48 000 € brut par an pour un profil junior

Les profils recherchés ? Des candidats de niveau ingénieur, rigoureux et à l’aise avec les données chiffrées. Pour évoluer dans cette profession, la  réactivité, l’adaptabilité et l’esprit d’équipe au quotidien sont indispensables.

La fourchette de salaire dépend de votre niveau de formation et du poste visé. « Si vous êtes embauché en tant qu’ingénieur junior, vous percevrez un salaire brut compris entre 40 et 48 000 euros annuels », précise Toufik Bellahcene, responsable recrutement du groupe UEM. Rattachée à la même branche professionnelle qu’EDF, l’entreprise propose de nombreux avantages périphériques. « Nous prenons notamment en charge environ 90% de la facture énergétique de nos collaborateurs. » Un coup de pouce plus que bienvenu en ce moment !

Cette opportunité d’emploi vous intéresse, mais vous ignorez tout du trading d’énergie ? HelloWork a questionné Camille Bonvier et Jérémy Gomez (responsables des deux divisions trading d’UEM) sur leurs missions respectives afin de vous en donner un aperçu.

Deux profils aux spécialités différentes

Camille a fait ses études d’ingénieur à Grenoble INP-Phelma et Jérémy à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers puis CentraleSupélec avant de rejoindre UEM. « Spécialisée dans le génie énergétique et nucléaire, j’ai effectué mon stage de fin d’étude chez UEM au sein de la division Front office trading » retrace Camille. « J’ai ensuite eu la chance d’être embauchée en 2017 pour prendre la tête de l’équipe Back-office trading. »

Jérémy a quant à lui intégré l’équipe Front office Trading fin 2015, d’abord en tant que trader. « J’ai deux diplômes d’ingénieur mais pas de formation spécifique au monde de l’énergie. J’ai donc été complètement formé en interne chez UEM. »

Avec une particularité : « Pour exercer dans mon équipe, il faut passer des examens en direct avec les organismes qui gèrent le marché de l’énergie. Les taux de réussite sont importants et il s’agit surtout de retenir quelques règles indispensables sur le mode de fonctionnement du marché. Une bonne année d’expérience est nécessaire  pour maîtriser pleinement son poste, même si on est autonome au bout de quelques mois. »

Le Back office trading : anticiper les fluctuations du marché de l’énergie

Les fonctions de Camille et de Jérémy comportent chacune une part opérationnelle et un volet davantage axé sur la réflexion stratégique. « Au Back office, notre première mission consiste en la réalisation de prévisions de consommation d’énergie (électricité et gaz) à court et à long terme en tenant compte de multiples facteurs. Les données météorologiques et tout élément conjoncturel, comme le Covid, peuvent par exemple impacter les consommations d’énergie. Il faut savoir s’adapter car pour gérer ce genre de situations, les méthodes toutes faites n’existent pas ! »

En plus d’anticiper ces fluctuations, Camille et son équipe s’attachent à contrôler la cohérence des opérations réalisées sur le marché de l’énergie. « Nous établissons des reportings d’activité tous les mois, ou plus fréquemment si nécessaire. Ceux-ci sont ensuite présentés à la direction et au contrôle de gestion. »

Camille participe par ailleurs activement à l’amélioration continue dans tous les domaines de l’activité « Toutes nos missions sont réalisées en veillant au respect de l’ensemble des contraintes réglementaires régissant les mécanismes du marché et en maitrisant les risques », souligne-t-elle.

Le Front office trading : effectuer les achats d’énergie et fixer les prix pour les clients

« Notre équipe s’occupe des achats d’énergie pour le groupe, principalement d’électricité. Mais nous sommes également actifs sur les marchés du gaz, du CO₂ et quelques autres commodités (telles que les garanties d’origine) », résume Jérémy.

Les interactions sont quotidiennes avec l’équipe Back office. « Tous nos achats reposent sur leurs prévisions. C’est important d’avoir deux équipes distinctes pour assurer un double contrôle et une séparation claire des activités. Cela assure la solidité du système. »

« Au niveau opérationnel, nous effectuons quotidiennement des transactions sur le marché et fixons les tarifs pour nos clients,  en fonction du prix d’achat de l’énergie. Ces deux tâches représentent à peu près 60% de notre activité. »

Comme l’équipe de Camille, Jérémy et son équipe mènent en parallèle des études pour proposer de nouvelles offres, améliorer le système… « Nous sommes consultés dès qu’il y a une notion de marché ou de risques », explique-t-il.

« On doit garder la tête sur les épaules et agir avec sang-froid ! »

Selon Camille, la complexité des mécanismes du marché nécessite d’être très bien organisé et intellectuellement agile. « Ils sont en constante évolution, donc cela nécessite une veille réglementaire permanente. La crise énergétique actuelle a bouleversé tous les fondamentaux de nos métiers : nous devons adapter systématiquement nos outils, nos processus et renforcer nos contrôles pour limiter les risques financiers liés à l’activité »

« On manipule des opérations à plusieurs dizaines de millions d’euros quotidiennement » relève pour sa part Jérémy. « Comme le prix de l’énergie a énormément augmenté depuis un an, on doit garder la tête sur les épaules et agir avec sang-froid ! Il faut vraiment avoir un œil critique sur ce qu’on fait et rester toujours calme pour ne pas faire d’erreurs. »

Un poste polyvalent et valorisant

Jérémy apprécie d’exercer une profession avec beaucoup de responsabilités. « Nous sommes au cœur de l’activité de l’entreprise et on interagit régulièrement avec la direction, tout particulièrement en période de crise. C’est très valorisant ! »

La diversité des sujets traités par l’équipe fait aussi partie, selon Camille, des principaux avantages à rejoindre UEM. « C’est une entreprise de taille moyenne, donc une grande polyvalence est nécessaire On gère nos dossiers de A à Z : contractualisation, pricing, prévisions, achats d'énergie, facturation. Les responsabilités sont vastes.  Nous échangeons notamment avec les chargés d’affaires qui vendent les contrats aux clients et avec le service de facturation d’efluid, sur lequel on s’appuie. »

Vous hésitez encore à postuler ? « Nous sommes deux équipes jeunes et dynamiques » affirme Camille. « Il y a une très bonne ambiance entre nous et le cadre de travail est vraiment plaisant chez UEM ! »

Je postule dès maintenant !

Crédit photo : UEM