7 bonnes raisons de se reconvertir dans le numérique
Découvrez l’avis de l’experte Malika Ouhammou, responsable des relations entreprises d’Evocime, organisme de formation spécialisé dans le numérique.

Dans un monde qui n’en finit plus de se digitaliser, les métiers du numérique sont en plein essor. Non seulement ils ne connaissent pas la crise, mais ils sont surtout de plus en plus diversifiés et touchent à (pratiquement) tous les domaines d’activité.
Vous envisagez une reconversion et ce secteur vous intéresse ? Voici 7 raisons, développées par Malika Ouhammou, responsable des relations entreprises qui devraient définitivement vous convaincre de choisir cette voie.
1. Des emplois en tension, partout en France
Si vous décidez de vous former à un métier lié au numérique, vous n’aurez a priori pas de difficulté à trouver un emploi. « Ces métiers figurent parmi les dix professions les plus recherchées en France, selon France Travail », annonce Malika.

Ils entrent ainsi dans la catégorie des professions dites « en tension ». « Chaque année, des milliers de postes restent non pourvus faute de profils formés », reprend Malika, en illustrant son propos : « En France, neuf entreprises sur dix déclarent manquer de candidats dans ce domaine et toutes les régions sont concernées », constate-t-elle.
Au total, ce sont plus de 70 000 projets de recrutement dans le numérique qui ont été comptabilisés en 2024, d’après Syntec Numérique.
2. Une employabilité durable
Une fois embauché, vous aurez l’assurance de conserver votre emploi sur le long terme. La reconversion demande de « l’énergie, de l’argent et de l’organisation », mais ce choix stratégique sera vite rentabilisé puisque les métiers du numérique sont des métiers d’avenir, gages de sécurité, d’après Malika.
En effet, « c’est un secteur qui évolue vite, et dont la demande explose », appuie-t-elle. À titre d’exemple, « 85 % des métiers de 2030 n’existent pas encore, et selon l’OCDE, 60 % des salariés devront mettre à jour leurs compétences dans le numérique d’ici 2027 » pour s’adapter à cette mutation du monde de l’emploi.
De nombreuses opportunités vont donc être créées pour répondre à cette demande, « et ce dans tous les secteurs d’activité », précise Malika.
3. Des salaires attractifs, même pour les débutants
Fidèles à la loi de l’offre et de la demande, les salaires sont attractifs dans le numérique car les talents sont particulièrement convoités, selon la responsable des relations entreprise d’Evocime. « Même les débutants perçoivent une rémunération moyenne supérieure au salaire médian junior : un développeur junior peut débuter sa carrière entre 30 et 35 000 euros brut annuel, tandis qu’un data analyst peut percevoir une rémunération annuelle entre 32 et 38 000 euros dans son premier emploi. » Ces fourchettes se situent bien au-dessus du salaire médian du premier emploi, évalué à 1 600 euros net, selon l’Insee.
En plus d’être rémunératrices, ces professions connaissent régulièrement des augmentations. « Les salaires grimpent rapidement et atteignent facilement 45 à 50 000 euros brut après cinq ans d’ancienneté. Sachant que ces sommes peuvent être majorées avec les spécialisations, comme l’IA ou la cybersécurité, d’après l’Observatoire des métiers », détaille-t-elle.
Outre la rémunération, dans ces métiers, les salariés bénéficient de conditions de travail épanouissantes. « Souvent les entreprises proposent du télétravail, ce qui offre une grande flexibilité organisationnelle », explique Malika. Il n’est pas rare de pouvoir exercer loin de son domicile et de se rendre au bureau seulement un ou deux jours par semaine. »
4. Des opportunités de mobilité interne
Autre avantage notable : les opportunités d’évolution et de mobilité. « Il existe de nombreuses compétences transverses dans les métiers du digital, donc de nombreuses passerelles sont possibles », fait savoir Malika. Ainsi, « un développeur informatique peut facilement se diriger vers le métier de chef de projet digital », illustre-t-elle.
Cette mobilité est également rendue possible par la formation professionnelle, qu’elle soit interne ou externe à l’entreprise. Chez Evocime, de nombreux parcours sont proposés : parmi eux, celui de la POEI* couplée à l'alternance « vous permet de vous former de manière intensive, de suivre une alternance par la suite, tout en ayant l’assurance d’être embauché à la sortie. »
Par ailleurs, « les métiers du numérique ont l'avantage de pouvoir être exercés sous différents statuts, ce qui n’est pas envisageable dans d’autres métiers », indique la responsable des relations entreprises. Au début de sa carrière, un développeur peut opter pour le salariat pour s’assurer une stabilité, puis goûter aux joies de l'entrepreneuriat car il aspire à plus de liberté.
5. Un secteur qui favorise l’inclusion…
Si certains secteurs peuvent être assimilés à un certain type de profils, celui du numérique est parfaitement inclusif. « Il est inclusif dans le sens où le diplôme initial n’est pas un frein. Ce qui compte c’est la motivation et la capacité à se former », argumente Malika.
Cette inclusion se traduit aussi dans l’intégration des personnes en situation de handicap dans le secteur. « De nombreuses ESN (entreprises des services numériques) mettent en place des politiques handicap fortes, avec des aménagements de postes possibles », admet-elle.
Sur la dimension paritaire, des efforts sont encore à fournir, mais le secteur se fixe déjà un engagement fort : « Aujourd’hui, dans la tech, les femmes ne représentent que 27 % des effectifs, mais l’objectif est d’atteindre 40% d'ici 2030 ». Les entreprises se donnent les moyens de cette ambition, notamment en sollicitant « des dispositifs d’accompagnement portés par des acteurs de l’emploi tels que Transition pro », poursuit Malika, avant d’ajouter : « L’accompagnement par un conseiller en évolution professionnelle est important et permet d’ouvrir les perspectives d’emploi... »
6. ... et au cœur des enjeux sociétaux
La quête de sens dans le travail est une préoccupation de plus en plus importante chez les actifs. « Le numérique permet d’avoir cet impact positif recherché en contribuant à façonner une société plus résiliente », affirme Malika. Cela est vrai aussi bien sur des sujets comme la transition énergétique avec le numérique responsable, que sur la sécurisation des données avec la cybersécurité, secteur qui prévoit de créer plus de 37 000 postes d'ici seulement 2027.
L’IA répond, elle aussi, à de nombreux enjeux sociétaux. « On peut citer entre autres l'amélioration de la productivité, l'optimisation des ressources et la réduction de coûts, mais aussi l’amélioration des prises de décision et la personnalisation de la relation client. »
« Dans nos enseignements chez Evocime, nous mettons particulièrement en avant le côté utile, inclusif, éthique et durable de la technologie », informe Malika.
7. Des formats flexibles pour se former avec Evocime
Si ces signes ont su vous convaincre de l’intérêt d’une reconversion dans le numérique, ce dernier paragraphe devrait vous donner envie de le faire en passant par l’école Evocime. Et pour cause : l’établissement propose des formats de formations variés, qui s’adressent à tous types de profils. « Nous formons des adultes, des salariés et demandeurs d'emploi, des alternants qui sont les talents de demain », énumère Malika.
L’école dispense des formations diplômantes, avec des formats flexibles : hybride, présentiel, distanciel et d’une durée variable pour répondre aux différents besoins (de 12 à 24 mois, du bachelor au master), en alternance ou en initial (avec stage). Evocime propose également des programmes plus courts et intensifs, comme les formations individuelles ou la POE**.
* Préparation opérationnelle à l’emploi individuel
** Préparation opérationnelle à l’emploi
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