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Être bien au travail

« Premier jour et envie de fuir » : ces salariés ont su très vite qu’ils n’allaient pas rester !

Par Juliette Bergé Publié le

Parfois, il ne faut pas s’éterniser !

« Premier jour et envie de fuir » : ces salariés ont su très vite qu’ils n’allaient pas rester !
Ils pensaient avoir décroché un super nouveau job, c'était en fait l'enfer et ils sont vite partis ! © ONYXprj@stock.adobe.com

Cette erreur peut arriver à tout salarié au cours de sa vie professionnelle. Sur le papier, le job semblait vous correspondre, mais dès les premiers jours, vous sentez qu’il y a quelque chose qui cloche. Ambiance tendue, management toxique ou missions qui ne correspondent pas à ce qui vous avez été vendu au départ…Voici 5 témoignages de salariés qui ont su très vite qu’ils n’allaient pas rester dans leur nouveau job.

« Dès la lecture des affiches dans l’entreprise »

Le premier jour, je me rends compte que le couloir qui mène à mon bureau est orné de nombreuses affiches « de motivation » censées être inspirantes … mais je trouve ça « terriblement kitsh et ringard » ! Il est inscrit des mantras comme « No pain, no gain », ou encore « Croyez en votre réussite ». Pensant à une mauvaise blague, j’ai laissé passer les deux mois de ma période d’essai et je me suis rendu compte qu’il s’agissait vraiment des valeurs de l’entreprise mais il était hors de question que cela devienne les miennes !

« Quand j’ai compris qu’il fallait se battre pour avoir du papier toilette ! »

C’était une petite entreprise et j’espérais trouver une ambiance conviviale mais j’y ai découvert une sorte d’enfer salarial. Au bout de trois semaines, j’ai compris que je ne resterais pas très longtemps ! En fait, les gérants n’avaient aucun respect pour les salariés. Certains espaces de travail étaient installés dans des préfabriqués où il faisait vite une chaleur insupportable, notre salle de pause sentait l’humidité et de l’eau coulait sur les murs. Le comble ? Nos toilettes étaient souvent dépourvues de papier et il fallait chaque jour se battre pour en avoir. J’ai décidé que j’avais bien d’autres combats à mener… ailleurs !

« Quand j'ai vu des personnes en pleurs dans les couloirs »

J’avais l’impression d’avoir décroché un job de rêve dans un grand groupe très connu dans mon secteur. Evidemment, je sentais que le poste serait exigeant… mais je ne m’attendais pas à découvrir une ambiance de travail aussi pressurisante ! Certains passaient des soirées entières sur un projet à boucler, et des managers hurlaient contre des salariés en plein milieu d’un open-space de 50 personnes. Il m’est arrivé de croiser des collègues qui s’étaient isolés pour pleurer dans le couloir des toilettes. Il était hors de question que je cautionne une telle organisation de travail, leurs objectifs inhumains ne valaient pas mes larmes !

« Quand j'ai appris que mon manager venait de démissionner »

Le premier jour, les premières présentations faites avec le service, j’ai senti qu’il y avait un malaise parmi mes nouveaux collègues quand j’ai demandé où était Marc, le manager que j’avais rencontré en entretien d’embauche et qui devait me chapeauter ces premiers jours. En fait, il avait démissionné quelques semaines avant mon arrivée et il avait négocié un départ rapide… C’était donc la désorganisation la plus totale dans l’équipe ! Dans les semaines qui ont suivi, j’ai appris que deux autres collègues étaient aussi sur le départ. J’ai donc suivi ce qui semblait être la tendance de l’entreprise : j’ai pris mes jambes à mon coup !

« J’ai découvert qu’on me confiait des missions de stagiaire ! »

La première semaine était très calme… mais je me disais que c’était normal car il y avait sans doute un temps d’adaptation avant que mes managers me confient des missions, qu’ils attendaient que je maîtrise les différents logiciels. Seulement, les semaines ont passé, et je me suis rendu compte que l’on n’attendait pas plus de moi que de n’importe quel stagiaire : sauf que je suis en CDI avec près de 10 ans d'expérience dans le secteur. Je devais seulement répondre à des mails et me contenter des basses besognes… heureusement personne ne m’a jamais demandé de lui faire un café ! Autant dire que l'annonce de mon départ quelques mois plus tard n'a pas dû bouleversé l'organisation du service.

 

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