Apprendre un métier d’avenir par la pratique, c’est gratuit à L’Industreet !
L’industrie : un secteur qui s’est fortement modernisé ces dernières années et qui ne manque pas d’arguments pour séduire les nouvelles générations. Explications avec Olivier Riboud, directeur de L’Industreet, un campus qui vaut le détour !

Plus de 200 000 postes sont à pouvoir dans l’industrie en 2021. Un argument choc quand on sait que 20% des jeunes de moins de 25 ans sont au chômage en France ! La robotisation et la digitalisation ont entraîné une mutation en profondeur du secteur, qui offre désormais de multiples opportunités aux nouvelles générations. Loin des clichés, ce domaine d’activité à la pointe de la technologie ne cesse de se réinventer : « ces évolutions appellent de nouvelles compétences de la part des collaborateurs et collaboratrices, mais aussi une capacité à s’adapter pour maintenir leur employabilité au long cours », précise Olivier Riboud.
De ce constat est né L’Industreet, un centre de formation qui apporte des solutions concrètes et novatrices aux jeunes intéressés par les métiers d’avenir. L'établissement, qui a ouvert les portes de son campus en janvier dernier, se distingue par une approche originale, le «faire pour apprendre. »
Découvrez 8 raisons d’intégrer L’Industreet, un campus qui casse les codes de la formation avec un seul objectif : « un jeune, un emploi ! »
Des formations qui répondent aux attentes des industriels
Basée à Stains, au cœur du Grand Paris, L’Industreet n’a pas développé ses cursus au hasard. « Notre première démarche a été d’aller voir les entreprises pour identifier leurs besoins », révèle Olivier. Résultat ? Des formations axées sur la pratique, qui ont pour but de favoriser l’insertion professionnelle des étudiants avec l’apprentissage d’un métier en forte tension.
Je découvre les formations de L'Industreet
Les compétences comportementales au cœur des enseignements
« A L’Industreet, on forme à un métier, pas à un diplôme ! » affirme Olivier. L’école s’intéresse à la fois à la posture du futur collaborateur, à sa capacité d’intégration au sein de l’entreprise et à ses facultés d’apprentissage.
Une vision très moderne de l’enseignement, à l’heure où les fameuses soft skills sont plébiscitées dans le milieu pro. « Très peu de formations permettent de valider des compétences interpersonnelles », constate Olivier.
Le travail en mode projet : le meilleur moyen d’apprendre !
Convaincue des bienfaits du travail en groupe, l’équipe de L’Industreet a choisi une pédagogie en mode projet. « Il est important de donner du sens aux apprentissages. Quand on sait pourquoi on apprend, on le fait beaucoup mieux ! affirme Olivier. Chez nous, l’apprenant voit le résultat concret de son travail. »
Pluridisciplinaire, l’enseignement permet aux élèves de monter en compétences rapidement : « La réalisation d’un chargeur de téléphone solaire, par exemple, offre aux jeunes l’opportunité d’élaborer un produit de A à Z, du plan au résultat final. L’occasion d’acquérir des notions d’électricité, de câblage, de dimensionnement, etc. », révèle-t-il.
Autre pilier de la méthode développée par L’Industreet : le droit à l’erreur. « Chez nous, le jeune peut se tromper et poser des questions, confirme Olivier. Comme dans la vraie vie, il doit chercher ce dont il a besoin pour mener à bien son projet, que ce soit entre pairs, sur internet… Ensuite, il se lance, essaie, réitère jusqu’à réussir ! »
Ces expérimentations sont encadrées par des formateurs aguerris et passionnés, « tous issus du monde professionnel, ils ont à cœur de transmettre leurs savoirs à des jeunes motivés et investis. »
5 filières pour se former à un métier dans les conditions du réel
La qualité des infrastructures de l’école facilite cet apprentissage par la pratique. « Chaque filière dispose de ses propres ateliers et du matériel nécessaire », explique Olivier.
Au total, cinq spécialités profitent de ces installations pour former à des métiers de haute technicité, très connectés :
- Ligne de production automatisée, pour devenir technicienne / technicien de maintenance ou opérateur de production. « Nous avons investi dans deux vraies lignes de production : l’une fabrique du gel hydroalcoolique, l’autre des masques de protection.» Solidaire en temps de crise, L’Industreet en fait don à des associations. Un geste qui en dit long sur les valeurs défendues par l’école !
- Terminaux de distribution d’énergie, pour évoluer en tant que technicien / technicienne d’installation de maintenance de centrales photovoltaïques ou de stations-services. Des métiers en pleine mutation technologique ! « Nous sommes équipés de panneaux solaires et d’un fourgon pour simuler des interventions dans les conditions du réel. Même si nous ne faisons que traverser la cour de l’école ! » plaisante Olivier.
- Inspection et contrôle non destructif: l’inspecteur ou l’inspectrice des installations valide sa qualité et sa conformité. « Comme pour le contrôle technique d’un véhicule, sauf qu’il s’agit d’installations industrielles ! » vulgarise Olivier. Quant au technicienne / technicien en contrôle non destructif, son rôle est de vérifier qu’une pièce répond bien aux normes de fabrication. « Pour un appareil sous pression, par exemple, la sécurité dépend de la qualité de la soudure ! »
- Numérisation des installations industrielles : « On forme sur les jumeaux numériques, ce qui signifie qu’on virtualise des installations industrielles existantes pour simuler des opérations diverses. » Pour le technicien ou la technicienne BIM, le principe est le même, appliqué au secteur du bâtiment. « Nous avons en France des logiciels exceptionnels, avec de très bons ingénieurs et chercheurs qui manquent de techniciens !»
- Maintenance multiservices robots-assistés : « De plus en plus de robots prennent le relais pour effectuer une partie du travail de maintenance et de nettoyage », informe Olivier. L’industrie requiert donc des personnes capables de programmer, d’assurer la maintenance et de mener des actions correctives sur ces appareils. A la clé, des postes de chefs d’équipes pour piloter ces actions sur le terrain.
Le centre de formation ne se contente pas de plonger ses élèves dans un environnement similaire à celui dans lequel ils évolueront plus tard : « les conditions de travail et les procédures sont reproduites à la lettre ! On produit « pour de vrai », ce qui induit des exigences, notamment en termes de productivité, de qualité, de livraison. On peut avoir une panne ou la simuler, condamner une machine… » liste Olivier.
Tout le monde a sa chance à L’Industreet !
Ouvertes à des jeunes de toute origine sociale, filles ou garçons, les formations ne nécessitent aucun prérequis académique. « On se fiche du diplôme ! » affirme Olivier. Sens du collectif, capacité à se remettre en question et à faire preuve de résilience : telles sont les qualités recherchées par L’Industreet. « On recrute en priorité des jeunes de 18 à 25 ans, mais également des personnes de 25 à 30 ans », ajoute le directeur.
Le processus de sélection des candidatures diffère aussi de ce qu’on peut voir ailleurs, et se veut plus humain : les candidats font un quiz en ligne avant de passer une journée d’observation sur le campus, suivie d’un entretien individuel avec les équipes de l’école.
A L’Industreet, les formations sont gratuites et même rémunérées
L’aspect financier constitue souvent un frein pour les étudiants au moment de choisir un centre de formation. C’est un non-sujet chez L’Industreet ! « Nous avons la chance d’être soutenus par la fondation de l’entreprise Total, qui finance l’intégralité de nos formations » annonce Olivier.
Si 90% des élèves de l’école proviennent de la région Ile-de-France, L’Industreet aura bientôt une résidence étudiante pour accueillir des élèves de tout horizon. « Nous proposons aussi des solutions d’hébergement à proximité du campus, avec si besoin une prise en charge d’une partie du loyer grâce au soutien de la fondation. Tous nos jeunes peuvent en outre prétendre à une allocation du Pôle Emploi. »
Une durée de formation adaptée et un accompagnement personnalisé
Autre spécificité de L’Industreet : il n’y a pas de rentrée annuelle ! « Les jeunes intègrent les formations tout au long de l’année, et la durée des apprentissages est adaptée en fonction des capacités de chacun. Tout jeune qui entre chez nous sort avec un métier, peu importe le temps que ça prend ! »
Accompagnés par des mentors bénévoles tout au long de leur parcours, les jeunes peuvent bénéficier d’une aide dans leurs différentes démarches. Un suivi qui comprend aussi des ateliers d’aide à la recherche d’emploi ou de stages. « On les accompagne, mais on ne fait pas pour eux », tient à préciser Olivier. Une philosophie ancrée dans l’ADN de l’école !
Un emploi assuré à l’issue de la formation
Tous les métiers visés sont dits « en tension », avec moins d’1,2 CV disponible par offre d’emploi. « C’est-à-dire qu’une entreprise reçoit en moyenne 1 CV par offre d’emploi ! Des DRH m’appellent tous les mois, à la recherche de nouveaux collaborateurs ou collaboratrices », explique Olivier.
« Il est impressionnant de constater à quel point les jeunes s’épanouissent en très peu de temps à L’Industreet, s’enthousiasme-t-il. On leur fait confiance alors que souvent ils ne croyaient pas en eux avant d’intégrer le campus. Nous sommes persuadés que chaque personne choisie va réussir ! » conclut-il.
Envie de rejoindre une école atypique, qui donne à chacun la chance de trouver sa voie dans le secteur de l’industrie ?
Crédit image : Industreet
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