Avec Carrefour proximité, devenez votre propre patron, devenez franchisé !
Vous avez l’âme d’un commerçant et vous souhaitez devenir franchisé d’un commerce alimentaire qui a su évoluer et s’adapter aux évolutions du commerce au cours de ces trente dernières années : les enseignes de Carrefour Proximité sont votre solution !

Carrefour Contact, City, Express, Bio, Montagne, mais également les enseignes 8 à Huit et Proxi : voilà toutes les entités du groupe Carrefour Proximité. En quelques chiffres, cela représente en France près de 3 800 magasins, de 50 à 1 000 m², sur tout le territoire. Dans la région Est, le groupe compte un peu plus de 300 magasins en franchise, en zone rurale, périurbaine et urbaine.
Prenez la gérance d’un magasin à partir de 7 500 euros d’apport
Aider les talents, c'est la volonté affichée par Carrefour Proximité. En mettant à disposition des magasins en location gérance, avec un apport de seulement 7 500 euros, le groupe permet à toute personne motivée par l’univers de la franchise de se lancer dans l’aventure. « Après 3 à 4 ans, tout en percevant une rémunération dès le premier mois d’exploitation, vous aurez constitué l'apport nécessaire pour acheter votre fonds de commerce et devenir patron d'un magasin franchisé », explique Aurélie Fermont, Responsable Recrutement Franchisés de Carrefour Proximité dans la région Est. « Cependant, pour les candidats qui disposent d’ores et déjà d’un apport financier à partir de 80 000 euros, il est possible d’investir pour devenir propriétaire de leur fonds de commerce sans passer par la location gérance », précise-t-elle.
Pas de prérequis en termes d’expérience
Quelle que soit l’option choisie pour démarrer dans la gestion d’un magasin, tous les nouveaux franchisés ont accès à la même formation, au même accompagnement et aux mêmes services. De même, peu importe leur parcours professionnel, aucun prérequis en termes d’expérience ni de diplôme ne sont demandés pour devenir franchisé chez Carrefour Proximité. « Nous recrutons des candidats qui ont une forte appétence pour le commerce, et cela, ça ne s’apprend pas à l’école ! » assure Isabelle Paradis, également Responsable Recrutement Franchisés chez Carrefour Proximité. « Il faut également avoir des affinités avec la gestion et un potentiel managérial. Nous recherchons également des candidats qui soient partenaires, c'est-à-dire qui souhaitent construire une relation gagnant-gagnant avec l’enseigne ». Elle précise cependant que « Notre mission consiste à évaluer en fonction du savoir faire du candidat et de son potentiel d’apprentissage, le type de magasin qui lui correspondra le mieux. Cela ne serait pas judicieux pour le futur franchisé de prendre un magasin trop grand pour lui. On peut construire ensemble un projet évolutif : au bout de quelques années, après avoir consolidé son expérience, il pourra évoluer sur un point de vente plus important s’il le souhaite»
Une quarantaine d’opportunités dans l’Est, clés en mains
Dans la région Est, Carrefour Proximité compte chaque année une quarantaine de recrutements, en Grand Est et Bourgogne Franche-Comté. Dans le cadre d’une création de magasin, Carrefour Proximité met à disposition un emplacement clés en mains. Le candidat n’a alors pas besoin de venir avec des propositions de locaux, « Même s’il peut quand même proposer un emplacement, nous l’étudierons ! ». Dans le cadre d’une reprise, le candidat reprend un fonds de commerce qui était déjà sous enseigne Carrefour. « Lors du recrutement, nous étudions avec le candidat la typologie de magasin qui pourrait lui convenir : rural ou urbain, plus ou moins grande équipe, avec ou sans boucherie, etc. pour lui proposer ensuite le magasin qui lui ressemble et qui correspond à sa zone de mobilité », précise Aurélie Fermont.
Des formations rémunérées, un accompagnement de chaque instant
Les franchisés bénéficient de 2 mois de formation rémunérée, avec une période dans un « magasin école ». Ce magasin accueille une nouvelle promotion de franchisés tous les mois. Ces derniers reçoivent ainsi une formation pratique sur le terrain et des formations théoriques sur la gestion, le management, les produits, les ressources humaines, etc. Dans un second temps, les futurs exploitants partent en immersion en magasin d’accueil pour participer activement à la vie d’un point de vente franchisé de sa future enseigne.
Enfin, lorsque chaque franchisé reprend son magasin, il est accompagné par un conseiller de franchise, des conseillers métiers et bénéficie de services supports mis à sa disposition par son enseigne. « L’idée est qu’il ait accès à tout un écosystème pour lui faciliter le quotidien et lui permettre de se consacrer à ses clients ».
Carrefour Contact d'Epfig
« J’ai acheté le magasin avec mon épouse »
Olivier Clauss est gérant du Carrefour Contact d’Epfig (67). Après une phase de location gérance dans un premier point de vente, l’aboutissement de son projet a été de créer son magasin avec son épouse. « J’avais déjà tenté d’entreprendre en créant ma société de vente en ligne, car j’ai toujours voulu être patron », témoigne-t-il. « Après mon passage dans une enseigne de supermarchés discount, j’ai su que je voulais rester dans le domaine de la distribution alimentaire. J’ai approché plusieurs enseignes, mais sans apport financier, je me suis tout naturellement intéressé à Carrefour car ils sont les seuls à proposer la formule de location-gérance accessible à ceux qui ont l’envie mais pas forcément les moyens ».
Avec une expérience dans l’univers de la distribution alimentaire, et également une première expérience en tant que patron, Olivier Clauss a rapidement été autonome, notamment grâce au parcours de formation de 4 semaines au sein du magasin école, qui lui a permis de découvrir les outils Carrefour et le concept de proximité. « Quand j’ai pris mon magasin, Carrefour a répondu présent à chaque fois que j’ai eu besoin de les solliciter, notamment les conseillers métiers, que ce soit sur la boucherie, les fruits et légumes ou le pain ».
Malgré une volonté à toutes épreuves, les doutes ont aussi fait partie de son projet. « Ma principale crainte était celle de l’échec financier. Père de 2 enfants à l’époque, 3 depuis, il y avait une charge de famille à assumer. Même si j’ai pu me rémunérer dès le premier mois, mon épouse n’est pas venue de suite auprès de moi. Par sécurité, elle a gardé son emploi d’alors. Mais tous ces doutes ont rapidement été levés car après 3 mois d’exploitation, mes comptes de gestion étaient déjà positifs ».
Aujourd’hui, Olivier et Stéphanie n’ont pas le temps de s’ennuyer et ne regrettent rien ! « Si je devais raconter une journée type, même si ça n’existe pas vraiment dans notre métier, je dirais beaucoup de terrain (80 %) et un peu de bureau (20 %). Il faut être présent avec ses équipes au quotidien pour la réception des marchandises, le montage du rayon fruits et légumes, la cuisson du pain, la mise en rayon, les commandes, le ménage… Il faut que tout soit prêt à l’ouverture pour bien accueillir ses clients. Ensuite on peut aller en caisse, faire du réassort… Au bureau, il faut suivre sa gestion, prévoir le planning de ses équipes… C’est beaucoup de temps de présence en magasin si on veut que ça marche », insiste-t-il. « Mais si vous êtes armés mentalement, il ne peut rien vous arriver, surtout en location-gérance ». Pour Olivier Clauss, si vous voulez vous lancer dans l’aventure de la franchise auprès de Carrefour, il faut avoir envie de gagner de l’argent « car l’objectif c’est surtout d’avoir son propre magasin à terme ». Il faut également être conscient que cela représente un véritable investissement en termes de temps et de travail : il faut se lever tôt le matin et imaginer rentrer régulièrement tard le soir, surtout au début. Par la suite, une fois l’organisation établie, il est possible d’avoir un peu plus de confort. « Et surtout, si on a une famille, il faut être bien entouré si on veut avoir l’esprit libre au travail ».
« Je voulais avoir mon indépendance, mais sans pour autant être seule »
Lydie Lecoq, elle, a travaillé pendant 10 ans dans le monde de la restauration, où elle a gravi les échelons pour devenir responsable de restaurant. L’envie de se reconvertir lui fait intégrer un magasin Carrefour Contact où elle est rapidement repérée pour devenir adjointe. « Ayant exprimé mon envie d’avoir mon propre magasin, on m’a alors proposé d’intégrer la formation « Adjoint Evolutif » durant deux années ».
Ayant toujours souhaité être son propre patron, mais sans trop savoir dans quel domaine, Lydie a trouvé en Carrefour le partenaire parfait. « Je voulais avoir mon indépendance, mais sans pour autant être seule. Lorsque je suis arrivée chez Carrefour, il m’est apparu comme une évidence que j’avais trouvé ma voie dans le commerce de proximité. Engagés, attentionnés et positifs sont les valeurs de Carrefour et je les partage entièrement ». Elle est aujourd’hui la locataire gérante du Carrefour Express de Nancy, place St Epvre.
Tout comme Olivier, Lydie a eu quelques craintes concernant la rentabilité de son projet. « Même si l’apport financier est minime, 7 500 € ce n’est pas rien ! », note-t-elle. Mais elle a vite été rassurée par le fait qu’elle allait pouvoir se payer dès le premier mois étant donné que sa rémunération était provisionnée dans son compte d’exploitation. « Il y avait aussi une part d’inconnu car je me suis lancée dans une création de nouveau magasin, sans clientèle et avec une équipe à recruter et à former. Mais tout est pensé par Carrefour, du premier jour du chantier aux premières semaines d’exploitation. Au moindre doute, j’ai toujours un expert pour m’aider ».
Au quotidien, ce ne sont pas les missions qui manquent, « sans compter les imprévus qui viennent se greffer ! ». Lydie passe beaucoup de temps sur la surface de vente, auprès de ses équipes et auprès de ses clients. « Je commence toujours par faire un tour de magasin et mettre en place mes équipes. Ensuite je m’occupe de ma gestion (analyse des chiffres, paiement des factures, analyse de ma trésorerie). Puis je vais aider mon équipe pour les commandes, la mise en rayon, la caisse… Je dois aussi prévoir le planning de mon équipe, recruter si besoin… Les journées et les semaines sont longues, surtout les premiers mois où j’ai fait ouverture/fermeture tous les jours. Avec le temps, je me suis appuyée sur mon équipe pour me préserver un peu de temps pour moi ».
Aujourd’hui encore elle le répète, si on a envie d’entreprendre en limitant le risque d’échec, la location-gérance Carrefour est une réelle opportunité. « Ce qui compte, c’est avant tout la motivation, le courage et l’implication. Il faut avoir une bonne capacité à gérer son stress, et il faut surtout être soutenue dans le couple car c’est beaucoup d’investissement en temps ». La location-gérance, c’est surtout un moyen de capitaliser pour pouvoir s’offrir à terme son propre magasin, ce qui sera son cas au terme de 3 années, tout en pouvant se rémunérer tous les mois dès le premier jour d’exploitation.
- X
Sur la même thématique
Préparez-vous à
décrocher votre job !
155 000
CV lus en moyenne chaque jour, soyez le prochain à être vu !
soyez visible auprès des recruteurs
910 428
offres en ce moment, on vous envoie celles qui collent ?
soyez alerté rapidement
Toutes les offres d’emploi
- Paris
- Lyon
- Toulouse
- Marseille
- Nantes
- Bordeaux
- Rennes
- Lille
- Strasbourg
- Nice
- Montpellier
- Aix-en-Provence
- Dijon
- Grenoble
- Angers
- Reims
- Annecy
- Tours
- Nanterre
- Metz
- Accueil
- Média de l'emploi
- Évoluer dans sa vie pro
- Avec Carrefour proximité, devenez votre propre patron, devenez franchisé !
{{title}}
{{message}}
{{linkLabel}}